Le travail a Tanger a été réalisé dans le cadre d’une Résidence, à l’invitation de l’Institut français. Le projet est une ballade musicale dans la ville sur des notes d’Anne Queffelec, en concert le temps de la résidence. En quoi l’écoute musicale change-t-elle là la perception de la Ville ? Comment se dilatent se replient ou se déplient les perceptions dans la sollicitation additionnelle des sens ? Que disent Schubert ou Scarlatti à la ville, que disent-ils de la ville ?
Anne Queffelec a joué ses impromptus entre les ruelles de la kasbah, mon image a imprimée sa voix venue après la traversée de Gibraltar.
Tanger I : la ville
Tanger II : la kasbah